Du jeudi 26 au samedi 28 janvier 2017
Du jeudi 26 au samedi 28 janvier à 20h30
Téléphone : 33 (0)5 34 51 34 66
Mail : contact@theatre2lacte.com
Les poissons ne posent pas de questions
du jeudi 26 au samedi 28 janvier à 20h30
Zart compagnie
RESUME
Les poissons ne posent pas de questions est le titre de la troisième création de ZART compagnie, après Syndrome Marilyn, RIP Rest in peace.
Ce spectacle s’inspire d’un fait divers : le corps d’une femme a été retrouvé sur la plage de la Pointe aux oies, il s’agit probablement d’une clandestine qui tentait de traverser la Manche à la nage, vêtue d’une combinaison de natation, la jeune femme avait plié dessous des vêtements secs, emporté des produits énergisants et portait une boussole autour du cou.
Ce troisième texte de Julie Pichavant autopsie une tragédie. Il s’agit d’une enquête-auto-fiction en adresse directe qui prend la forme d’un monologue engageant le corps, appuyée sur l’univers sonore. Le spectacle trace deux trajectoires de vies opposées qui s’unissent dans une même voix. Il évoque le drame de l’exil à travers le regard d’une femme européenne confronté à un fait divers qui bouleverse le sens de sa vie. Chaque individu noue par son destin un lien avec le destin humain en général. Gilles Deleuze pensait qu’il existe un cri philosophique, que ces cris philosophiques sont comme les cris des poissons. «Si vous n’entendez pas le cri des poissons vous ne savez pas ce que c’est que la vie.» Comment donner à entendre ce cri?
Ce spectacle s’inspire d’un fait divers : le corps d’une femme a été retrouvé sur la plage de la Pointe aux oies, il s’agit probablement d’une clandestine qui tentait de traverser la Manche à la nage, vêtue d’une combinaison de natation, la jeune femme avait plié dessous des vêtements secs, emporté des produits énergisants et portait une boussole autour du cou.
Ce troisième texte de Julie Pichavant autopsie une tragédie. Il s’agit d’une enquête-auto-fiction en adresse directe qui prend la forme d’un monologue engageant le corps, appuyée sur l’univers sonore. Le spectacle trace deux trajectoires de vies opposées qui s’unissent dans une même voix. Il évoque le drame de l’exil à travers le regard d’une femme européenne confronté à un fait divers qui bouleverse le sens de sa vie. Chaque individu noue par son destin un lien avec le destin humain en général. Gilles Deleuze pensait qu’il existe un cri philosophique, que ces cris philosophiques sont comme les cris des poissons. «Si vous n’entendez pas le cri des poissons vous ne savez pas ce que c’est que la vie.» Comment donner à entendre ce cri?
DISTRIBUTION
Pour la réalisation de ce travail, Julie Pichavant s’entoure de la même équipe que pour les précédentes créations :
Esperanza Lopez/ direction d’acteur
Fabrice Camboulive/ création sonore
Alberto Burnichon/ régie générale
Patrick Cunha/ création lumière
Philippe Pitet/ création vidéo
Esperanza Lopez/ direction d’acteur
Fabrice Camboulive/ création sonore
Alberto Burnichon/ régie générale
Patrick Cunha/ création lumière
Philippe Pitet/ création vidéo
PRODUCTION
Les Thérèses / Zartcie
SOUTIENS
Avec Le soutien de :
la DRAC Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées, la Ville de Toulouse, la Région Occitanie Pyrénées-Méditerranée, L’Estruch Fabrique de création Sabadell, l’Alliance Française de Sabadell, Combustible, compagnie accueillie en résidence aux Bazis, le Théâtre Le Vent des Signes, le Théâtre Le Ring, la MJC Rodez, le Théâtre de la Maison du Peuple Millau.
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